#PetitsRienduquotidien en confinement N°1

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Les #PetitsRienduquotidien peuvent tout changer pour nous et nos relations, encore plus en période de confinement. Pour les avoir testés, je vous les partage. Vous verrez c’est tout bête ! Mais encore faut-il le faire. Car Savoir n’est pas Faire et Savoir ne change rien !

Depuis le 17 mars, début du confinement, j’ai mis en place dans mes routines, un certain nombre de « Petits Rien ». 1 mois après, en regardant dans le rétroviseur, je réalise que ces « Petits Rien changent tout ». Je décide donc de vous livrer régulièrement ces Petits Rien.

Vous verrez c’est tout bête ! Mais encore faut-il le faire.

Savoir n’est pas Faire et Savoir ne change rien !

Selon que l’on vive seul(e), en couple, en famille avec des petits enfants, ou avec des grands, Selon notre environnement, évidemment, notre quotidien est bien différent.

Mon premier Petit Rien, est celui de la reconnaissance.

Celle que l’on aimerait recevoir ou entendre de la part de nos co-confinés et qui parfois ne vient pas, au moment qui serait bon pour nous. Celle qui reconnait nos gestes du quotidien pour faciliter la vie des autres, celle qui permet au travail et à la famille de co-exister.

C’est vrai que la gratitude et la reconnaissance extérieures sont fondamentales à toute interaction sociale – même en distanciation sociale . Cependant, si je ne la reçois pas et que ça me ronge, je risque soit de la demander de manière désagréable, soit de me morfondre. Et dans les 2 cas, ça n’est hélas pas efficace.

Alors le Petit Rien qui m’a aidé : celui que je fais tous les jours pour moi-même :

C’est être son propre meilleur ami

et me dire, pour moi, les choses même infimes, dont je me remercie ou qui m’ont rendue heureuse dans la journée.

C’est tout bête mais ça permet de faire basculer vers du positif à l’intérieur de soi, ça permet de prendre de la distance vis-à-vis des autres et ça permet aussi de construire proprement la demande de reconnaissance que l’on pourra dans un 2ème temps leur demander.

Et ça, ça change tout !

« Le bonheur ne se donne pas, il se travaille, il se peine, plus on attend des autres qu’ils nous donnent du bonheur, plus on court vers la frustration. Mais si l’on y travaille, lentement, parfois même péniblement, un jour on se demandera pourquoi l’on est tant heureux. »

Boris Cyrulnik

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